Par Pierre Aumon
Dans les couloirs feutrés de l’Élysée, symbole historique de la République française, une question lancinante hante les esprits des citoyens lucides : qui détient réellement le pouvoir ? Est-ce encore un président élu au suffrage universel, garant des institutions et du peuple souverain, ou bien une forme de dictature masquée, où les décisions structurantes pour la nation sont prises au mépris de la volonté populaire ? Cette interrogation n’est pas anodine. Elle touche au cœur de notre démocratie, ébranlée par des années de dérapages autoritaires, d’allégeances supranationales et de mépris flagrant pour l’opinion publique.
Inspiré par les analyses percutantes de Florian Philippot, leader souverainiste et président des Patriotes, cet article explore ces enjeux cruciaux. Philippot, voix discordante dans un paysage politique souvent complice du statu quo, n’hésite pas à dénoncer l’illusion démocratique qui règne à l’Élysée. À travers ses tweets incisifs, il alerte sur la perte de souveraineté française, la censure galopante et l’urgence d’une action populaire décisive. En octobre 2025, alors que les sondages créditent Emmanuel Macron d’une impopularité record – seulement 16 à 20 % d’opinions favorables –, ses récentes annonces sur la censure des réseaux sociaux, la doctrine nucléaire européenne, la vaccination obligatoire et l’autonomie accrue de la Nouvelle-Calédonie sonnent comme un ultimatum à la nation. Comment en sommes-nous arrivés là ? Et surtout, comment le peuple doit-il réagir pour reconquérir son pouvoir ?

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L’Illusion Démocratique : Quand l’Élysée Devient un Bunker Inaccessible
La Ve République, conçue par Charles de Gaulle pour incarner la souveraineté nationale, semble aujourd’hui pervertie en un système où le président agit en monarque absolu, déconnecté du peuple. Le contrôle de l’Élysée n’est plus exercé au nom des Français, mais au service d’intérêts supranationaux et d’une élite bruxelloise. Emmanuel Macron, élu en 2017 et réélu en 2022 sur un programme pro-européen, a multiplié les coups de force : dissolution de l’Assemblée nationale en 2024, passage en force sur les retraites, et maintenant, des décrets liberticides qui bafouent les libertés fondamentales.
Florian Philippot, dans un tweet du 28 octobre 2025, capture parfaitement cette dérive :
“Macron annonce qu’il va bientôt décider : la censure des réseaux sociaux, une nouvelle doctrine pour la dissuasion nucléaire (son européanisation), la vaccination obligatoire, de donner de fait son indépendance à la Nouvelle-Calédonie. Etc. Tout ça en étant rejeté par 84% des Français ! Donc avec zéro légitimité pour prendre des décisions aussi structurantes pour la France et les Français ! Et les « oppositions » refusent de le DESTITUER ?! On rêve ! Ça suffit : destitution, évidemment !” Ce message, vu par plus de 65 000 personnes, résonne comme un cri d’alarme. Philippot souligne que ces choix – de la censure à l’européanisation de notre dissuasion nucléaire – ne relèvent plus d’un président républicain, mais d’un dirigeant qui impose sa vision dictatoriale sans consultation.
En effet, le référendum d’initiative partagée (RIP) ou les consultations populaires, outils démocratiques pourtant prévus par la Constitution, sont relégués aux oubliettes. L’Élysée, censé être le cœur battant de la République, est devenu un bunker où les décisions tombent comme des ordres impériaux. Cette illusion démocratique masque une réalité plus sombre : une concentration du pouvoir qui évoque les régimes autoritaires du XXe siècle. Les Français, épuisés par l’inflation, les coupes budgétaires et les scandales (comme le casse du Louvre ou le procès extravagant de Brigitte Macron), se sentent expropriés de leur souveraineté. Philippot, fidèle à sa ligne gaulliste, rappelle que la légitimité ne vient pas d’un mandat figé dans le temps, mais d’un contrat vivant avec le peuple. Sans cela, l’Élysée n’est plus qu’une coquille vide, contrôlée par une clique d’eurocrates et de lobbies.

Les Signes Indéniables d’une Dérive Dictatoriale à l’Élysée
La dictature en France n’est pas un spectre lointain ; elle s’installe par touches subtiles, via des lois et décrets qui érodent les libertés. Le contrôle de l’Élysée s’exerce aujourd’hui par la censure, l’endettement guerrier et la soumission à l’Union européenne (UE), transformant notre président en exécutant d’intérêts étrangers. Prenons les faits : en pleine crise de légitimité, Macron surfe sur le “procès pour cyberharcèlement” impliquant Brigitte Macron pour justifier une offensive contre les réseaux sociaux.
Comme le dénonce Philippot dans un tweet du 28 octobre :
“Au moment où Macron surfe sur l’extravagant procès Brigitte pour censurer les réseaux sociaux, rappelons que 0 eurodéputé français, ZÉRO, ont voté contre le règlement européen DSA de censure sur lequel s’appuie toute la législation de contrôle, de flicage, de bannissement et de censure ! Le DSA est pourtant une infâme cochonnerie : à supprimer en même temps qu’on supprimera l’UE grâce au Frexit !” Ce post, relayé par des milliers, met en lumière comment l’Élysée instrumentalise la justice pour museler la dissidence en ligne. Ajoutons à cela le décret du 15 octobre 2025, signé par Sébastien Lecornu, qui oblige les opérateurs internet à stocker pendant un an les données de trafic, de localisation et d’identification des contributeurs en ligne – soi-disant pour la “sécurité nationale”. Philippot commente :
“16/10 2025, tout premier décret de Lecornu : une dinguerie liberticide ! Les tyrans ne se cachent même plus ! Il faut voter la censure et la destitution !”
Cette censure n’est pas isolée. Rappelons que zéro eurodéputé français, tous partis confondus, n’a voté contre le règlement DSA (Digital Services Act) de l’UE, qui impose un flicage généralisé des plateformes. Philippot fustige :
“Au moment où Macron surfe sur l’extravagant procès Brigitte pour censurer les réseaux sociaux, rappelons que 0 eurodéputé français, ZÉRO, ont voté contre le règlement européen DSA de censure sur lequel s’appuie toute la législation de contrôle, de flicage, de bannissement et de censure ! Le DSA est pourtant une infâme cochonnerie : à supprimer en même temps qu’on supprimera l’UE grâce au Frexit ! Vive la liberté d’expression ! Honte aux eurodéputés français, amis de la censure !”
Sur le plan géopolitique, la dictature s’exprime par l’escalade guerrière. Macron annonce des livraisons de missiles Aster et de Mirage à l’Ukraine, au moment où les Français subissent des gels de retraites et des déremboursements de médicaments. Philippot réagit avec force :
“RUINE ! « Nous livrerons dans les prochains jours à l’Ukraine des missiles Aster additionnels, de nouveaux programmes de formation et de nouveaux Mirage » ! C’est ce que vient d’annoncer Macron […] Stop à ce scandale monstrueux ! C’est l’entretien de la guerre et la ruine de nos armées et de la France ! Plus une arme, plus un euro et évidemment pas un soldat pour l’Ukraine !” Et son appel viral :
“Macron, on ne mourra PAS pour l’Ukraine ! Ni pour l’UE, ni pour les rentiers de la guerre ! Diffusez partout svp. France libre et Paix !”
L’UE elle-même agit comme un Léviathan dictatorial. Sur le Mercosur, malgré les promesses de Macron, la Commission européenne force la signature, humiliant Paris. Philippot ironise :
“C’est extrêmement clair depuis le début : c’est l’UE qui a la « compétence exclusive » du commerce et donc le Mercosur allait forcément s’appliquer. On savait depuis le départ que Macron mentait. […] On ne pourra sauver notre agriculture et nos paysans qu’en reprenant le contrôle de notre commerce, et donc seulement en quittant l’UE #Frexit !” Ces exemples cumulés – censure, guerre, soumission européenne – dessinent les contours d’une dictature soft, où l’Élysée n’est plus qu’un relais d’ordres impériaux. La légitimité Macron s’effrite, et avec elle, l’illusion d’une République saine.
La Crise de Légitimité : 84 % des Français Rejettent le Contrôle Élyséen
Au-delà des actes, c’est la légitimité même d’Emmanuel Macron qui est en cause. Les sondages d’octobre 2025 sont accablants : 84 % des Français désapprouvent ses décisions, un record historique. Comment un président peut-il imposer une “nouvelle doctrine nucléaire européenne” ou une vaccination antigrippale obligatoire pour les soignants et les Ehpad, sans consultation ? Philippot le martèle :
ces choix structurants exigent un mandat renouvelé, or Macron, en fin de règne, n’en a plus.
Le mensonge sur les fonds publics pour le procès américain des Macron – estimé à 5-10 millions de dollars – en est un symbole. Philippot s’indigne :
“Dans Le Monde ce matin, l’Élysée « assure que pas 1 euro d’argent public n’est dépensé » […] Or ça va coûter des millions […] Alors ils mentent en disant « pas d’argent public » ou ils mentent sur leur patrimoine officiel ?!” Cette opacité renforce le sentiment d’une élite déconnectée, contrôlant l’Élysée comme un fief personnel. Les motions de censure contre Lecornu ou les appels à la destitution, pourtant soutenus par des LR et des PS, sont sabotés par des oppositions complaisantes comme le RN. Philippot dénonce :
“C’est absolument inacceptable ! Faites circuler et OBLIGEZ vos députés RN à soutenir, cette fois, la DESTITUTION de Macron ! […] Le RN sauve une nouvelle fois Macron et empêche un débat sur sa destitution au sein de l’hémicycle ! Ce qui serait extrêmement puissant !”
Cette crise n’est pas conjoncturelle ; elle révèle un système où le contrôle de l’Élysée échappe au peuple, au profit d’une dictature technocratique. Sans légitimité, Macron n’est plus un président, mais un squatteur illégitime.
Comment le Peuple Doit-Il Agir Face à Cette Dictature Élyséenne ?
Face à cette emprise, l’inaction est complice. Inspiré par les appels répétés de Florian Philippot à la mobilisation, le peuple français doit passer à l’action : destitution immédiate, Frexit et reconquête des libertés. D’abord, soutenir les motions de censure et de destitution à l’Assemblée. Comme l’urge Philippot :
“Toute cette farce peut s’arrêter lundi par une motion de censure, et ça doit être le cas ! Censure de Lecornu. Puis destitution de Macron. Arrêtons les frais !” Les citoyens doivent inonder les députés de mails, pétitions et manifestations pour forcer le vote.
Ensuite, exiger le Frexit pour briser la tutelle de l’UE, source de tous ces maux. Philippot l’affirme :
“L’UE c’est le coup d’État permanent ! Seule sa destruction totale et définitive l’arrêtera, grâce au Frexit ! Paysans de France, Français : il faut se mobiliser plus que jamais ! Et foncer !” Les agriculteurs, déjà révoltés par le Mercosur, doivent mener la charge, suivis par les soignants contre la vaccination forcée et les internautes contre la censure.
Enfin, une action pacifique mais déterminée : boycotts, grèves et référendums citoyens. Philippot conclut dans ses lives :
“Ne lâchons rien ! Ça craque de toutes parts !” Le peuple, souverain ultime, doit transformer sa colère en force collective. Des plateformes comme X, malgré les menaces, restent des outils vitaux pour amplifier ces voix. En agissant maintenant, nous pouvons arracher le contrôle de l’Élysée à cette dictature naissante et restaurer une République vraie, au service des Français.
Conclusion : Réveillez-Vous, Peuple de France !
Le contrôle de l’Élysée n’appartient plus à un président de la République, mais à une dictature rampante qui étouffe notre souveraineté. Les tweets de Florian Philippot, comme des phares dans la nuit, illuminent la voie : destitution, Frexit, liberté. À nous, le peuple, de nous lever. Partagez cet article, mobilisez-vous, et exigez votre dû. La France libre n’est pas un rêve ; c’est un combat à gagner.
Pierre Aumon est un analyste politique indépendant, passionné par les questions de souveraineté et de démocratie. Suivez-le pour plus d’analyses sur la dictature en France et l’action du peuple.
